En 2018 à Oiry, la société Raj Viti s’est bien rendue coupable de « traite d’être humains » sur les vendangeurs qu’elle mettait à la disposition de ses clients. Le couple originaire du Sri Lanka qui dirigeait cette entreprise, avait été condamné à 3 ans de prison dont 2 fermes en première instance. Ce jugement vient d’être confirmé en appel avec un aménagement de la peine sous bracelet électronique. Les amendes de 50 000 euros pour chacun des conjoints sont maintenue . La Cour d’Appel confirme aussi la condamnation d’un donneur d’ordre, le gérant de la société Viti Chenilles, à un an de prison ferme. Les traitements indignes exercés par les prévenus sur les vendangeurs concernaient plus de 200 réfugiés, souvent en situation irrégulière. Tous n’ont pas pu être identifiés. Lire en détail ICI